Voix défendues, langues oubliées, accents reconnus chez Balys Sruoga, Romain Gary, Primo Levi
Abstract
Thomas Buckley reprend l’idée de Michel Foucault sur la voix coupable et celle de Danier Heller-Roazen sur la langue maternelle comme censure des
autres langues, et montre, à partir de trois écrivains de la résistance et de la déportation (Balys Sruoga, Romain Gary et Primo Levi), comment peut faire survivre, dans une situation d’oppression (guerre, déportation, racisme, animalisation), la voix résistante, affirmant une appartenance indéfectible à des valeurs qui le plus souvent prennent leur source en-deçà des identités coercitives du « shibboleth ».
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