La langue, la bouche, la voix : vecteurs d'un plaisir paradoxal dans le théâtre atrabilaire de Beckett ? - Université de Bretagne Occidentale Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Les Cahiers du CEIMA Année : 2012

La langue, la bouche, la voix : vecteurs d'un plaisir paradoxal dans le théâtre atrabilaire de Beckett ?

Résumé

Cet article a pour but d'explorer l'esthétique paradoxale qui prévaut dans le théâtre de Beckett (Godot, Fin de Partie etc.). Faite d'épuisement progressif de l'action et du dialogue, cette esthétique développe et retravaille sans cesse la notion d'aporie, qui loin d'être synonyme de silence stérile permet de développer un nouveau langage scénique à une époque complexe marquée par l'onde de choc de la Shoah, Hiroshima et Nagasaki... La pensée de nombreux philosophes de Blaise Pascal à Alain Badiou en passant par François Noudelmann et Clément Rosset s'avère alors précieuse pour analyser cet oxymore théâtral qu'est la dramaturgie beckettienne.

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Domaines

Littératures
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Citer

Thierry Robin. La langue, la bouche, la voix : vecteurs d'un plaisir paradoxal dans le théâtre atrabilaire de Beckett ?. Les Cahiers du CEIMA, 2012, Voix défendues, 8, pp.55-68. ⟨hal-01087603⟩
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