Los espacios del exilio: entre libertad y confinamiento. Estudio geocrítico y de género de Primavera inútil de María Luisa Algarra, Los que no pudieron huir de Carlota O’Neill y La tumba de Antígona de María Zambrano
Abstract
Entre 1936 y 1939, l’Espagne connaît une guerre qui détruit la Seconde République espagnole. A partir de ce moment, les personnes qui ont défendu la République ont dû exiler vers des pays hispaniques et européens. Nous allons nous intéresser à l'expérience de trois auteures : María Luisa Algarra, Carlota O'Neill y María Zambrano. Trois personnes qui partagent un double exil : être femmes et républicaines. Les trois auteures montrent différentes visions de l'espace de l'après-conflit. A travers une méthodologie géocritique et de genre, nous allons expliquer la signification de l'exil pour ces trois femmes, entre liberté et confinement, une liberté pensée mais pas vécue. Pour cela, nous utiliserons trois pièces: Primavera inútil, de María Luisa Algarra, Los que debieron huir, de Carlota O'Neill y La Tumba de Antígona, de María Zambrano.