Patrick White, un écrivain passéiste ou un irritant salutaire du « progressisme » nationaliste australien ?
Abstract
Cet ouvrage propose d’explorer les relations entre littérature et tradition en contexte postcolonial, tout en interrogeant les grands principes qui ont guidé jusqu’ici les études postcoloniales, en particulier la prégnance de l’activisme politique au cœur du travail de représentation littéraire et le lien sous-jacent entre rupture politique et innovation poétique. Qu’en est-il des auteurs qui choisissent de ne pas revendiquer et des œuvres qui ne relèvent pas de la littérature de combat ?