Hypocrisie de la voix sociale dans les "Ames fortes" de Jean Giono : La vérité d'une Médée entre Rousseau et Sade
Abstract
Emmanuel Minel met en lumière, à partir d’un roman de Giono écrit dans un contexte marqué par l’épuration et le début de la décolonisation, la perversité possible de la « voix de l’opprimé(e) », qui devient « figure » rhétorique, alibi dans un discours hypocrite et manipulateur au service d’une violence placée par le romancier sous le signe de Médée et du plaisir naturel mais inavouable de détruire.
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