Hidden love: the new Breton rhetoric of the fashionable set
Amours cachées : la nouvelle rhétorique mondaine bretonne
Abstract
It may seem quite bold to try to rhetorically define Kerenveyer’s sonnets. On first reading, they may only be of interest for one reason for some readers: finally, some sex in Breton. These sonnets are obviously interesting from a philological point of view because they contain the first known written occurrences of words designating female and male characteristics. In addition, however, Kerenveyer employs numerous rhetorical figures and figures of knowledge in his sonnets, which some would consider to be of the ‘genre poissard’. How are we to understand this paradox?
Il peut sembler bien audacieux de chercher à définir rhétoriquement les sonnets de Kerenveyer qui, à la première lecture, ne peuvent présenter, pour certains lecteurs, qu’un seul intérêt : enfin du cul en breton. Car il est vrai que ces sonnets comportent les premières occurrences écrites connues de mots désignant les attributs féminins et masculins : il y a donc un intérêt philologique évident. Mais ce n’est pas tout. En effet, dans des sonnets que d’aucuns feraient relever du genre poissard, Kerenveyer manie de nombreuses figures rhétoriques ainsi que des figures du savoir. Ce paradoxe, comment l’entendre ?
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