De Sainte-Tryphine au Grand Mystère de Jésus : aux sources de la « Querelle du Barzaz-Breiz »
Abstract
C’est de 1861 que datent les premiers échanges épistolaires entre Luzel et La Villemarqué. Tandis que Luzel voue une grande admiration au Barzaz-Breiz et à son auteur, ce dernier, à la suite d’un poème – « Breiz Izell » – paru dans le Publicateur du Finistère, journal imprimé à Quimperlé, voit en son interlocuteur ni plus ni moins que le successeur du poète Auguste Brizeux. « Breiz Izell » est repris en 1862 dans les Bleuniou Breiz, une anthologie qui réunit les poèmes et chansons précédemment parus dans le Publicateur et dont l’imprimeur Clairet a chargé l’abbé Jean-Guillaume Henry [1] d’assurer le travail d’édition. Mais les nuages ne tardent pas à venir assombrir le ciel trop azuré des éloges dithyrambiques. Un premier différend sérieux oppose les deux hommes quant à l’édition de mystères bretons.
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