Des traces éphémères aux lettres du désert - Université de Bretagne Occidentale Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Les Cahiers du CEIMA Année : 2013

Des traces éphémères aux lettres du désert

Résumé

S’éloignant de la figure du vide que l’imaginaire du désert mobilise souvent, R. Bouvet privilégie plutôt, d’une part, les traces fragiles laissées par le nomade sur son territoire : « l’empreinte, le vestige, mais aussi la trace mémorielle laissée par la parole, le poème, transmise de génération en génération, une trace que l’écriture tente de rappeler, de fixer, malgré les paradoxes que cette situation engendre ». D’autre part, elle aborde la figure de l’anachorète, qui voit dans le désert l’espace symbolique de la parole divine et un lieu dont la rigueur le prépare à la transfiguration. Les oeuvres de Flaubert, Pierre Loti, Jean Marcel, Jacques Lacarrière et André Chédid lui fournissent un corpus d’analyse d’une grande richesse.

Mots clés

Domaines

Littératures
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Dates et versions

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Identifiants

  • HAL Id : hal-01117989 , version 1

Citer

Rachel Bouvet. Des traces éphémères aux lettres du désert. Les Cahiers du CEIMA, 2013, Trace humain, 9, pp.155-170. ⟨hal-01117989⟩

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