Trémazan dans la littérature.
Abstract
Le site pourtant remarquable de Trémazan a peu inspiré la littérature - sur 4 titres répertoriés, deux sont destinés à la jeunesse : "Tanguy, fils de la mer" de Georges Gustave Toudouze (1938) et "Sans atout et le cheval fantôme" de Thomas Narcejac (1971). Les deux autres sont "L'Ermite de Trémazan" d'Auguste Bergot (1923) et "Boris après l'amour" de Yann Quéffelec (2002). Curieusement ce décor a moins intéressé ces auteurs pour ce qu'il est que pour ce qu'il suggère : un présent imprégné d'un passé ou l'histoire et la légende se confondent pour créer ou épaissir le mystère.