, Bulletin de l'Association bretonne, p.p. XLI

, « limites des dialectes bretons, pp.425-427

. Ibid, Légendes chrétiennes de la Haute-Bretagne. La Mort en voyage, pp.412-414

, Il n'y a pas trace dans les archives La Villemarqué de cette lettre du début janvier 1886 dont fait état Sébillot dans Le Fureteur breton, (« ce que m'a dit La Villemarqué, p.177

, Contes des Paysans et des Pêcheurs, deuxième série des Contes Populaires de la Haute-Bretagne, p.1881

M. Contes-de, troisième série des Contes populaires de la Haute-Bretagne, p.1882

, « Littératures populaires de toutes les nations

. Littérature-orale-de-la-haute-bretagne and M. Paris, Premier volume de la collection « Littératures populaires de toutes les nations, p.1881

, Ce travail restera dans les cartons, même si, dans la « Bibliographie des traditions et de la littérature populaire de la Bretagne » qu'il publie dans le tome V de la Revue Celtique (1881-83), il l'annonce (p.282) comme comprenant 5000 mots environ et destiné à paraître en 1883

, Traditions et superstitions de la Haute-Bretagne, Paris, Maisonneuve, 1882. Volumes IX et X de la collection « Littératures populaires de toutes les nations

. Coutumes-populaires-de-la-haute-bretagne and M. Paris, Volume XXII de la collection « Littératures populaires de toutes les nations, p.1885

, Paul Sébillot y est né le 6 février 1843

L. Berceau-de-la-famille and . Villemarqué,

M. Stokes, Indian Fairy Tales, Calcutta, 1879. Elle est la fille du celtisant Whitley Stokes avec lequel La Villemarqué a entretenu une très abondante correspondance

, Sachuli l'innocent : voir Littérature orale de la Haute-Bretagne, op. cit, pp.108-109

, C'est un thème que Sébillot développera à plusieurs reprises

, Les Contes de terre et de mer, légendes de la Haute-Bretagne, illustrés par Léonce Petit, Sahib et Bellanger, paraîtront seulement en 1883 à Paris chez Charpentier

. Revue-de-bretagne, T. De-vendée, and . Ix, « Notices et comptes-rendus. Les littératures populaires de toutes les nations, pp.399-405

, Émile Ernault a bénéficié du constant soutien de La Villemarqué avec lequel il entretient une abondante correspondance

, Ernault rend visite à Sébillot et c'est de chez ce dernier qu'il adresse une lettre à La Villemarqué (Archives La Villemarqué, LV34.042) dans laquelle il écrit : « M. Sébillot a été très sensible à vos éloges, du reste bien mérités, et il me prie de vous en remercier. » Voir Nelly Blanchard, « La filiation intellectuelle entre Théodore Hersart de La Villemarqué et Émile Ernault. De la littérature gothique à la philologie d'urgence, Le, vol.10, issue.1881, 2019.

, Congrès de l'Association Bretonne de Redon (5-10 septembre 1881)

, Si l'on me l'eût demandée 97 dans le temps, pour Mélusine, j'aurais peut-être essayé de faire quelque chose ; aujourd'hui à mon âge, il est tard pour que l'on recommence

, 92 Sébillot est admis comme membre de la Société archéologique du Finistère lors de la séance du 30 juillet 1885

L. Limite-du-breton, U. Du-gallo-en-bretagne-est, and P. Sujet-que, Sébillot travaille depuis plusieurs années et qu'il a évoqué dès le 6 juin 1878 lors d'une séance de la Société d'anthropologie de Paris. Ce n'est, semble-t-il, qu'à la séance du 29 octobre 1885 de la Société archéologique du Finistère que La Villemarqué communique la note de Sébillot, Limites des dialectes bretons, pp.425-427

, La Villemarqué donne lecture « d'une note sur la ligne de démarcation des dialectes divers de la langue bretonne » qui appelle des réserves de la part de certains participants

, Cette question ne sera pas inscrite au programme

, Citée par Paul Sébillot dans « Ce que m'a dit La Villemarqué »?, p.176

, Il est question de l'adhésion à la Société des traditions populaires

, Mais tout cela est une simple « amorce, M. Luzel m'a envoyé en communication les images qu'il possède, et qui sont les plus intéressantes : je vous envoie la réduction au quart de l'une d'elle. M. du Cleuziou 111 a aussi quelques images qu'il m'a communiquées

C. Elvire-de, « La mare et le beugle de Saint-Colman », Saint-Suliac et ses traditions, pp.65-69, 1987.

, « Anciens poètes du Léon : saint Goënou, p.81

, Complainte sur la captivité de François I er » ; cf. Revue des Traditions Populaires, août 1888, pp.418-421

, Voir : Fañch Postic, « La rencontre de Puymaigre à Pau en 1868 : une occasion manquée pour La Villemarqué de s'insérer dans un réseau européen de collecteurs ?, Rennes, pp.355-356, 1897.

. La-«-romance-de-l'émigré, 1806 dans le Mercure du 31 mai, puis en 1826 dans les Aventures du dernier Abencérage, est plus connue par son incipit « Combien j'ai douce souvenance? ». Cf. Paul Bénichou, Nerval et la chanson folklorique, pp.59-67, 1970.

, « Souhaits de bonne année en rébus » dans la Revue des Traditions Populaires, décembre 1887, p.568

. L'imagerie-populaire-bretonne, , p.14, 1992.

P. Sébillot and «. L'imagerie-en-basse-bretagne, et « L'imagerie populaire en Haute Bretagne, pp.407-417, 1888.

H. Raison and . Cleuziou,

. Monsieur-&-cher-confrère,

, Représentations de Mystères bretons » par Anatole Le Braz dans le numéro d'avril 1888 de la Revue des Traditions Populaires, p.222

, Turnbull et Spears) sous le titre de Breton Ballads, une élégante traduction en vers des pièces du Barzaz-Breiz qui n'avaient pas été traduites par M.M. Tom Tylor (1865) et Lewis Morris. Cette dernière est-elle la même que celle en vers anglais parue sans nom d'auteur dans The Catholic World, juillet 1873, sous le titre : Britanny, its people and its poems ?, Une traduction anglaise du Barzaz-Breiz. -M. Henry Carrington vient de publier à Edimburg (en 1 petit vol. in-8° de XII-184 pages imp, vol.17, pp.179-208, 1873.

E. Hamy, , pp.1842-1908

. Anthropologue,

L. Héros-populaires-en-bretagne, Lafolye, 1889 ; tiré-à-part de la Revue de Bretagne et, vol.113, p.146

, Même en-tête que la lettre précédente

, Je serais très-aise de pouvoir traiter un peu cette question. J'ai entre les mains une trentaine de pièces fournis par M. M. Luzel, du Cleuziou et quelques autres. Ce n'est pas évidemment pas tout. Je pourrais faire graver une dizaine de planches pour illustrer l'article. La traduction nouvelle du Barzaz-Breiz est intitulée : Breton Ballads translated from the Barzaz-Breiz of the vicomte de la Villemarqué by Henry Carrington. Edingburgh, Privately printed by Thurnbull and Spears 1886 in 18 de X-183 pages. La traduction est en vers : les pièces traduites sont, Je vous remercie de votre très-aimable lettre ; je voudrais bien le roi à Pavie avec votre note au sujet de la conversation que vous avez eue avec Châteaubriand

M. Agréez and . Cher-confrère, l'assurance de mes meilleurs sentiments

A. Thierry-vient-de-faire-paraître-À-la and L. , Plon-Nourrit la 2e Série des Grandes Mystifications Littéraires. Les fureteurs qui ont suivi les brûlantes discussions provoquées ici par la question du BarzazBreiz. (Index et VIII. 51, 86,120), liront avidement le chapitre « Un faux barde d'Armor » consacré à La Villemarqué par le petit neveu de l'historien de la Conquête de l'Angleterre par les Normands. Ils liront aussi avec un très vif intérêt les pages inédites qu'à cette occasion détache pour nous de ses Mémoires Paul Sébillot

. Avant, M. De-faire-la-connaissance-personnelle-de, and . De-la, « Nous sommes compatriotes, me dit-il. -Oui, répondis-je, puisque je suis breton gallo. -Ce n'est pas comme cela que je l'entends ; je suis originaire du pays de Matignon où vous êtes né, et mon nom de la Villemarqué, est celui d'un manoir d'Hénanbihen, que je possède encore. Il m'écrivait après avoir lu mes Contes de la Haute-Bretagne, le 22 mai 1880 : du moins influencées par les Martyrs, et que son illustre petit-cousin avait été moins étranger qu'on ne le croit à son oeuvre. Mais c'est là une hypothèse simplement plausible. Il me disait un jour : « Vous êtes heureux vous, les jeunes gens d'avoir des méthodes scientifiques, qui vous permettent de publier dans leur intégrité les contes populaires. Nous ne l'aurions osé de mon temps, -C'est vous, lui dis-je, qui nous avez ouvert la voie ! J'ai plusieurs fois écrit que sans le Barzaz-Breiz il n'aurait guère été possible de trouver un public capable de goûter les récits et les chants du peuple. Vous nous rendriez service en exposant l'état des esprits au moment de vos premières publications. Votre gloire ne souffrirait pas si vous racontiez, aussi exactement que possible, Villemarqué au premier des Dîners celtiques où il assista, j'avais été en relations épistolaires avec lui à l'occasion de mes premiers essais, auxquels il s'était intéressé. J'étais son voisin de table, et tout de suite nous causâmes

J. , Je suis convaincu qu'il était sincère en me répondant qu'il ne se souvenait plus, et je pense que s'il avait pu après de si longues années reconstituer exactement les origines du Barzaz-Breiz, il n'aurait pas hésité à indiquer la provenance des diverses pièces, à citer les chanteurs ou les correspondants qu'il avait eus, et à avouer 1es retouches qu'il avait fait subir au texte primitif, à une époque où ce procédé semblait licite et ne

. Ceux, On les oublie, même ayant une bonne mémoire, et à moins de consulter les manuscrits successifs, on ne se rend plus un compte exact des retouches que l'on a pu faire au livre avant de le livrer à l'impression. Les auteurs ne conservent pas toujours le manuscrit qui leur est revenu de l'imprimerie, ou ceux qui ont servi à établir le texte. M. de la Villemarqué se trouvait probablement dans ce cas. Il n'avait pas non plus comme jalon mnémotechnique l'indication que l'on donne couramment aujourd'hui : Conté ou chanté par? à? Vers 1830 on ne songeait guère en France à cette authentification, dont Restif de la Bretonne avait donné quelques exemples, avec moins de précision que les frères Grimm, venus plus tard. Luzel aurait vraisemblablement été embarrassé de faire le départ entre les embellissements à la Souvestre de quelques-uns de ses premiers contes

, Je lui écrivis de nouveau, en termes pressants. Et il me fit cette jolie réponse (28 janvier 1886) : Vous êtes trop aimable mille fois d'insister. Mais comment résister ? N'avez-vous entendu, dans notre cher pays commun, nos bons paysans à table ? « À votre santé mamezelle, et à la santé de celui-là, qui se promène sur les remparts de votre coeur ! » Une fille bien élevée, comme l'étaient toutes celles de Maitre Alain, de Hénan-bihen, devait répondre au galant : « Il n'en est d'autre sine chez nous. » Et le mariage était conclu ; je donne donc aussi la mienne à votre projet, ô parfait galant homme que vous êtes, Lorsque fut fondée la Société des Traditions populaires, j'avais écrit à M. de La Villemarqué pour lui demander son adhésion, et il m'avait répondu que son goût pour les traditions populaires durerait autant que sa vie

, Frédéric Mistral et Ernest Renan. Dans un des passages de Mélusine où Gaidoz a parlé sans aménité de la Société des Traditions populaires, il lui faisait un reproche d'avoir comme « Président d'honneur, M. de la Villemarqué, l'auteur du Barzaz-Breiz » (T. IV, col. 157). Un peu plus il se serait signé !.. Nous, nous pensions qu'il n'était que juste de décerner ce titre à l'un de ceux qui avaient le plus contribué en France à répandre le goût des traditions populaires, et qui dans sa vieillesse présidait, Je fus très heureux de pouvoir inscrire parmi les noms des adhérents celui de M. de la Villemarqué, et il fut élu Président honoraire en même temps que Xavier Marmier

, Peu à peu son écriture, restée longtemps nette et ferme, devenait tremblée, et sur la carte de visite qu'il m'adressa en janvier 1895, un mois avant sa mort, on avait quelque peine à lire ce distique désenchanté : Plus ne m'est rien, Jusqu'à la fin de sa vie, M. de la Villemarqué correspondit avec moi

S. Paul,