J. Selon, P. Ruysschaert, and . Desportes, Il est clair que le travail de Gougenot est une réédition, et non une collaboration avec l'auteur

. Ch, Paillasson collabora à l'Encyclopédie, pour ce qui concerne les écritures et la gravure Notre citation est extraite de sa contribution au Dictionnaire de Chiffres et de Lettres ornées, à l'usage de tous les artistes

. Évidence-qui and . De-par-le-contenu-du-raisonnement, ne semble pas irréfutable. Par ailleurs, la « coulée », mentionnée en fin de citation, désigne une forme évoluée de l'écriture calligraphiée (voir l'ouvrage cité ci-dessus de Claude Mediavilla, 195 et suiv

J. Livret-publié-À-béziers and . Pech, avec épître dédicatoire signée : de Mazelier. 15 A cette qualification extra-professionnelle fera écho (sauf aberration de notre part) une incidente du Discours à Cliton : « ? à cause que je fais quelquefois des vers et que je favorise ceux qui s'en mêlent?, 1618.

. Aux-frères-parfaict-que-gaultier-formerait, . Turlupin, and . Guillaume, le fameux « trio des farceurs » de l'Hôtel. Ce qui est certain, c'est que Gougenot a repris les noms d'un « duo » de farceurs, Turlupin et Guillaume. Pour ce qui est de Gaultier, il l'appelle « avocat », reprenant le nom d'un célèbre avocat du temps (que nous connaissons par Tallemant, Vigneul-Marville, etc.) Ce Gaultier-là aspire à monter sur les planches, et Gaultier-Garguille n'est en aucune façon présent dans l'ouvrage. Il faut noter, par ailleurs, en sus des deux farceurs) ne correspondent nullement à l'état historique qui était celui de ces acteurs en, pp.1631-1663

V. Parfaict and . Cl, Histoire du Théâtre français? Le Mercier 1745-49, T. V, 23 à 30 ; Tallemant des Réaux, Historiettes, éd. Pléiade, T. I, 198

. Le-pastor-fido, . Pièce-de-théâtre-pastoral-italienne, . De-giovanni-baptista, and . Guarini, dont la réputation et l'influence sur la production française est alors considérable. Voir, pour cette dernière remarque, 1996.

T. Complet, Traité de la disposition du poème dramatique, et de la prétendue règle de 24 heures. L'appellation à retenir pour le document assorti d'une introduction et d'une coda, publié en 1637, est Discours à Cliton sur les observations du Cid? Le titre alternatif Examen de ce qui s'est fait pour et contre le Cid? n'est sans doute qu'une seconde formulation

G. Pas-jean and . Durval, Mais, serait-il seul, il est tout à fait suffisant. Durval, en effet, dans ses dédicaces ou ses avis au lecteur, ne tarit pas d'auto-satisfaction sur ses succès, tant auprès du public que des plus grands personnages. La tragicomédie des Travaux d'Ulysse : «? assez bien reçue, et il me souvient qu'à Fontainebleau, lorsqu'elle fut représentée devant le roi, vous daignâtes l'approuver [?] ce héros [?] n'a jamais reçu tant de gloire des acclamations publiques de toute la Grèce [?] qu'il en reçut en présence d'un si grand roi de la bouche d'un si grand prince ». Agarite : «? aucunement bien [c'est-à-dire, largement bien] reçue, semblait ne devoir craindre les injures du temps ni les coups de langue, Panthée : «? bonne espérance de cet ouvrage, puisque [?] pour ainsi dire, dès le moment de sa conception, vous l'avez honoré du favorable aspect de votre présence ». L'obstination de quelques dix-septièmistes à soutenir l'attribution à Durval, avec des arguments pour le moins irréfléchis, est (ou n'est pas, c'est selon) surprenante