?. Lovelace, . Notamment, and . Salt, The heat, the diseases, the weight of armour they had to carry in the hot sun, the imperial poses they [Columbus and the first set of conquerors] had to strike, the powdered wigs to wear, the churches to build, the heathen to baptize, the illiterates to educate, the animals to tame, the numerous species of plants to name, history to write, flags to plant, parades to make, the militia to assemble, letters to write home ». Salt (London, Faber and Faber, 1996) 5. Ce passage au rythme binaire illustre l'opposition entre la culture des puissances coloniales ? culture de l'écrit et de la catégorisation ? et celle dite subalterne ? qui n'est d'ailleurs pas aux yeux des colons une culture à part entière mais bien davantage un ensemble de pratiques sauvages. 12 Code Noir, Déclarons les esclaves être meubles [?] ». 13 Elleke Boehmer, Colonial and Postcolonial Literature, p.90, 1995.

J. Nicolas and L. Carnaval, 18 L'arsenal législatif autour du carnaval se développa rapidement après l'émancipation des esclaves, en 1838, et se durcit après les émeutes de Canboulay ? Cannes brûlées ? à Port of Spain en 1881. Les tambours, les masques et les combats de bâtons furent prohibés. Graduellement , le carnaval est régi par des institutions, dont la principale est le Comité pour le Développement du Carnaval ? aujourd'hui appelée Commission Nationale du Carnaval : « The Carnival Development Committee (CDC) was established in 1957 to make Carnival a viable, national, cultural and commercial enterprise. » Dr. L. Trevor Grant, Trinival : Carnival of the Gods, Notons à ce propos la présence d'un anachronisme dans TWA : puisque l'intrigue a lieu avant la fin de la seconde guerre mondiale, le CDC n'existait pas encore en tant que tel, même si ses fondations étaient déjà bel et bien sous-jacentes, pp.231-274, 2008.

A. Césaire, . Cahier-d-'un-retour, . Au, P. Paris, and . Africaine, 21 La calinda, danse-combat de bâton commémore l'héritage africain. Souvent accompagnée de chants et du rythme des tambours, la calinda, qui oppose symboliquement deux adversaires , prit de l'ampleur après l'émancipation des esclaves de 1834 à 1838, 1983.

R. Allsopp and «. , The Caribbean Reality », Introduction à Dictionary of Caribbean English usage, 2003.

B. Webb, Myth and History in Caribbean Fiction Creole orality breaks up the linear logic of syntax with its indirect, elliptical style, marked by heavy rhythmic repetitions, syllabic blurrings, inversions, and hidden meaning, 1992.

. Le-calypso-est-un-chant-contestataire and . Satirique, 27 Les chants responsoriaux se composent d'un soliste qui alterne avec un choeur

F. Aiyejina and «. Introduction, Growing in the Dark, Earl Lovelace

E. Glissant, Le Discours antillais, p.238, 1981.