R. and G. Jones, Welsh literature in translation, pp.16-18, 1981.

L. 'oeuvre-exemplaire-de-l-'américain and P. Joseph, Clancy peut servir de modèle. Cf. l'article que lui consacrait, en 1982 déjà ? bien avant, donc, son admirable traduction de l'oeuvre de Kate Roberts en 1992 ? Welsh Books & Writers

A. Berman, La traduction et la lettre, ou l'auberge du lointain, Les tours de Babel, p.89, 1985.

. Une-telle-anthologie-a-récemment-vu-le-jour-en-allemagne, Hans dont elle ignore presque tout 29 en travaillant, autant que les textes, la nature des rapports qui peuvent exister aujourd'hui entre les deux cultures et, surtout, constituer un arrière-plan sur fond duquel d'autres traductions, d'oeuvres individuelles, pourront prendre tout leur sens et devenir, enfin, lisibles. Espérons qu'un éditeur courageux et une équipe de traducteurs animés de tels désirs sauront se rencontrer. Nous voudrions, pour finir encore, laisser le dernier mot à Armand Robin, ce Breton polyglotte, traducteur oublié de Dylan Thomas, grand pratiquant de "l'outre-écoute", qui, avec quelques néologismes et beaucoup de rythme, nous fait entendre en français une musique et une façon d'être (et d'être en langue) qui n'appartiennent qu'aux Gallois : IL CHANTE SON ANNIVERSAIRE Sous le soleil en graine de moutarde Près d'une toute penchée rivière d'une tobogganeuse mer Pour paniques de cormorans

. Sauf-le-rugby, comme on dit en vieux gallois", comme elle aurait dit "en vieux sanscrit". C'est l'ignorance et le mépris (du Pays de Galles, de l'Autre en général) que cette publicité suppose qui nous a, entre autres, initialement poussé à écrire le présent article. On se souvient que la publicité en question repose sur l'inversion, par un effet de miroir

A. Robin, I. Poésie-non-traduite, and N. R. Gallimard, Première strophe de la traduction du poème de D. Thomas intitulé 'Poem on his Birthday, p.159, 1949.