index - Gallia - Archéologie des Gaules

MSH Mondes


Rédacteur en chef :

Sandrine Agusta-Boularot
Professeure des universités
Université Paul-Valéry Montpellier 3 - ASM
gallia[at]cnrs.fr


Éditrice :

Raphaëlle Lamy
MSH Mondes - Pôle éditorial
raphaelle.lamy[at]cnrs.fr
+33 (0)1 46 69 26 13


Gestionnaire de la collection HAL :

Nicolas Coquet
MSH Mondes - Pôle éditorial
nicolas.coquet[at]cnrs.fr
+33 (0)1 46 69 24 23


Ministère de la CultureCNRS

DOAJ

   La revue Gallia – Archéologie des Gaules (ISSN : 0016-4119 ; e-ISSN : 2109-9588) est la principale revue nationale d’archéologie antique, avec une forte audience internationale. Créée en 1943 par le CNRS, elle a pour mission de publier des dossiers et des articles de synthèse et également de faire connaître les résultats des principaux chantiers évalués par le Conseil national de la recherche archéologique (CNRA) ou les Commissions territoriales de la recherche archéologique (CTRA). Revue d’archéologie, Gallia est ouverte, à propos de chaque site étudié, aux disciplines susceptibles d’élargir le champ de la recherche.

   Son champ chronologique couvre la Protohistoire depuis le premier âge du Fer, l’Antiquité et l’Antiquité tardive jusqu’à la fin des royaumes mérovingiens. Son champ géographique recouvre l’ancien espace gaulois, soit les provinces romaines des Trois Gaules, la Narbonnaise, les Germanies, ainsi que les territoires immédiatement limitrophes qui participent à leur destinée.

   Des Suppléments (ISSN : 0072-0119) publient des études monographiques, de grandes synthèses et des corpus (iconographiques, épigraphiques, etc.) présentant un intérêt majeur ou des avancées significatives pour l’archéologie et l’histoire des Gaules. Des séries, comme le Recueil général des mosaïques de la Gaule, les Inscriptions latines de Narbonnaise (ILN) ou le Recueil des inscriptions gauloises (RIG), fonctionnent à la façon de collections et accueillent plus précisément les corpus.

   La revue est soutenue par l’Institut des sciences humaines et sociales du CNRS et par le ministère de la Culture (Direction générale des patrimoines et de l’architecture, Sous-direction de l'archéologie). Elle est coéditée par CNRS Éditions, qui en assure également l'impression et la diffusion.

   Le secrétariat de rédaction est assuré au sein du pôle éditorial de la MSH Mondes (UAR 3225) à Nanterre.

Twitter  –  Facebook

Rechercher une publication *

* Les « Informations archéologiques » (publiées entre 1943 et 1986) ne sont pas référencées dans cette collection, mais sont néanmoins accessibles sur le portail Persée.

Derniers articles en ligne

En prélude à une fouille accompagnant les travaux de restauration de l’amphithéâtre antique de Saintes (Charente-Maritime), trois tranchées ont été ouvertes dans l’arène de l’édifice. L’opération avait pour objectif d’évaluer l’état de conservation, l’organisation générale et le phasage de cet espace dédié au spectacle. Les résultats démontrent une réfection de l’arène à partir de 275 apr. J.-C. Celle-ci sera utilisée au moins jusqu’au milieu du siècle suivant. Un sol au profil bombé permettait aux eaux de pluie de s’écouler dans un caniveau périphérique en bois, qui les acheminait vers un égout central traversant l’arène de part en part. Un système permettant l’entretien de la canalisation est situé au centre. L’opération a également permis de faire le point sur les pièces de service situées aux extrémités du petit axe médian, ainsi que d’étudier différents aménagements situés au sein de l’arène.



Continuer la lecture Partager

Un diagnostic d’archéologie préventive a été réalisé en 2011 dans le centre de la ville antique d’Augustodunum sur une parcelle de plus d’un hectare. Cette opération a été l’occasion d’explorer partiellement deux îlots longeant la rue principale, dite « cardo maximus », un secteur qui bénéficie d’avancées récentes de la recherche. Le premier îlot accueille un habitat de fort statut qui présente de remarquables similitudes avec les maisons dites de Balbius Iassus et à l’Étui d’Or fouillées à proximité dans les années 1970 ; le second îlot recèle les vestiges d’un vaste complexe monumental, dégagés sur près de 900 m2, qui fait l’objet du présent article. Vraisemblablement construit au début du iie s. sur les ruines d’anciennes maisons, il fut profondément restructuré à la fin du iiie s. ou au début du ive s. et semble avoir été abandonné puis en partie démantelé à partir du début du ve s. L’édifice du début de l’Antiquité tardive, par son plan et sa localisation dans un quartier résid...



Continuer la lecture Partager

Chez les Voconces, en nous fondant sur de rares textes littéraires et sur l’épigraphie, nous avons recensé 178 notables et membres de leur famille. En fonction de leur dignitas, nous pouvons distinguer au moins cinq groupes hiérarchiques : les honestiores, les prêtres (sauf les flamines et les flaminiques du culte impérial), les honorati locaux, les honorati municipaux et les honorati « impériaux ». Les honestiores sont sensiblement moins nombreux que les honorati et les évergètes (75 sur les 178 notables). Les 42 femmes viennent aussi loin derrière les 136 hommes.
Notre documentation s’étend sur la longue durée, des années 66-65 av. J.-C. à la seconde moitié du iiie s., mais plus du cinquième des inscriptions sont indatables. 31 notables sont attestés en dehors de leur cité. Les autres sont essentiellement connus par des textes retrouvés à Luc-en-Diois, Die et Vaison-la-Romaine ; la part des autres agglomérations et des campagnes est beaucoup plus faible. Néanmoins, la terre devait ...



Continuer la lecture Partager

Mirabel

80-2

HAL

OA

Persée

Persée

OpenEdition