Voix impénétrables et tissage des voix dans "Ghostwritten" de David Mitchell (1999) - Université de Bretagne Occidentale Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Les Cahiers du CEIMA Année : 2012

Voix impénétrables et tissage des voix dans "Ghostwritten" de David Mitchell (1999)

Résumé

Hélène Machinal décrit avec minutie l’architecture narrative d’un roman urbain de David Mitchell qui juxtapose neuf voix et neuf séquences d’une histoire « mondialisée » dont les ingrédients essentiels sont des fantômes et une intelligence artificielle chargée de surveiller le monde de manière secrète, sans que le lecteur sache, à la fin, si tout ceci a été affabulation ou réalité, la « voix originelle » restant indéterminée. L’accès « défendu » à la clé narrative déstabilise ainsi l’imaginaire identitaire du lecteur lui-même, dans la tradition du roman fantastique, qui fut aussi celle du théâtre baroque.

Mots clés

Domaines

Littératures
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  • HAL Id : hal-01087712 , version 1

Citer

Hélène Machinal. Voix impénétrables et tissage des voix dans "Ghostwritten" de David Mitchell (1999). Les Cahiers du CEIMA, 2012, Voix défendues, 8, pp.175-195. ⟨hal-01087712⟩
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